Posts in Category: Ecriture thérapeutique

Note pour plus tard

Je suis plutôt d’humeur joyeuse et positive ce matin (comment ça, ça change ? 😉 ), j’en profite pour mettre sur « papier » certaines pensées qui me trottent depuis longtemps, certaines lignes directrices qu’ils me seront utile de relire les soirs d’orage ou de brouillard…

FAQ nombriliste

Vous n’etes pas sans avoir remarqué que je parlais beaucoup de moi ces derniers temps sur ce blog… Voici quelques explications sur le comment du pourquoi… Et tant qu’à donner dans le nombrilisme, autant aller jusqu’à l’auto-interview !

Let go…

Quand je faisais du sport au collège, il faut bien avouer que j’étais assez pitoyable à peu près dans toutes les disciplines (avec une mention particulière pour le football, puisque je refusais tout contact physique avec le ballon, ce qui n’est pas une stratégie très judicieuse pour devenir le nouveau Zidane), sauf dans une : le sprint. Sur 100 mètres (ou 80, je ne sais plus ce qu’on faisait à l’époque), j’étais particulièrement doué, surprenant ainsi tous mes camarades qui avaient fini par me croire comme définitivement handicapé de l’effort physique. En revanche, sur des épreuves de fond, j’étais très mauvais, incapable que j’étais de doser un effort pour le faire tenir dans le temps.

Ecouter son coeur

Faut-il toujours être fort, lucide, clairvoyant, courageux dans la vie ? Oui bien sûr, au sens où l’on n’a pas le droit de se laisser couler, et je suis le premier à dire ici depuis quelques posts que ma priorité est de parvenir à me tenir debout et droit, et de regarder devant… Mais parfois, ne passe t’on pas à côté de quelque chose en n’acceptant jamais ses côtés plus « faibles », humains, et d’écouter ce que notre subconscient le plus profond a à nous dire dans ces périodes où il est amené à s’exprimer plus fortement ?

S’enrichir des autres

A croire que j’alterne un texte noir et un plus léger sur un thème similaire.. Je disais dans le précédent article que l’entourage pourrait avoir un rôle bien différent vis à vis des couples à la dérive, mais je dois tout de même dire que l’entourage, les relations, les amis, me sont très utile et m’aident beaucoup pour m’enrichir, pour relativiser certaines choses, pour comprendre beaucoup sur l’humain et sur moi même.

Apprendre à aimer les jolies choses

En relisant mon précédent article, je m’aperçois qu’il donne une vision plutôt noire de ma façon de voir la vie, et surtout de mon état d’esprit du moment. C’est vrai que j’ai, dans cette phase pas facile, décidé de regarder les choses en face, même si cela fait mal, même si cela m’amène à voir des parties plutôt sombre de ma personnalité. Je me fais d’ailleurs pas mal aider pour ça, et cette série d’articles sur le thème « écriture thérapeutique » fait partie de cette orientation. Mais j’ai vraiment l’impression que tout ceci m’aide pas mal, et qu’au final, arrêter de faire l’autruche, si cela fait mal aux yeux dans un premier temps lorsqu’on a le soleil face à soi, est au final la seule façon d’arriver à se tenir debout, et droit.

On est responsable de ce qu’on apprivoise

Pas de grand blabla aujourd’hui, mais un extrait du Petit Prince qu’on m’a rappelé il y a peu, et qu’on oublie trop, moi le premier. A lire et relire pour apprendre à grandir un peu..

Un jour sans fin

J’ai toujours été « du soir ». Je ne sais pas si c’est lié, mais ma mère, quand elle était enceinte de moi, était infirmière de nuit. Elle m’a souvent parlé de ces moments « pour elle », dans le calme de la nuit, où elle avait une impression à la fois de grand calme et où tout reposait sur elle. Une façon de voir le monde un peu différente, que je retrouve quand il fait nuit et qu’une sorte de vie parallèle devient possible.