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Voyages voyages

(petite tentative de relancer mon activité d’écriture)

Ca faisait très longtemps que je cultivais, sans l’assouvir, le fantasme du voyage. 2017 a été l’occasion d’enfin entrouvrir cette porte…

Beaurepaire

J’habite, certains le savent, depuis quelques années dans le centre de Clermont, dans une rue qui s’appelle rue Beaurepaire. Je n’avais jusqu’à présent jamais eu vraiment la curiosité de savoir pourquoi cette rue s’appelait ainsi.

C’est en tombant sur cette photo via Instagram que j’appris qu’une chapelle située à quelques centaines de mètres de chez moi s’appelait la chapelle du couvent de Beaurepaire. Cette chapelle, située dans un petit square, semble désaffectée depuis un moment.

Quelques recherches plus tard, la magie d’Internet a fait son effet :

Le premier couvent de l’ordre des Cordeliers (ou Franciscains) de Clermont est fondé vers 1240, hors des murs de la ville, au lieu-dit Beaurepaire, par un groupe de religieux venus du couvent de Montferrand[1].

Vers 1273, ce couvent est transféré plus près des murs de la ville, à l’emplacement de l’actuelle préfecture. La chapelle de ce nouveau couvent fut consacrée en 1284 ; elle est, avec la cathédrale, un des plus beaux témoins de l’art gothique à Clermont.

Et voilà donc l’histoire, plutôt intéressante pour le clermontois ; elle permet d’en apprendre sur l’origine de la chapelle des Cordeliers, qui est aujourd’hui connue pour son exploitation publique, conférences et autres spectacles. Mais elle permet aussi d’en savoir sur mon quartier ! Qui était en fait, à l’époque où Clermont était centré sur la « butte », un lieu dit en dehors de la ville, nommé tout simplement… Beaurepaire.

Un autre lien pour en savoir plus sur cette chapelle qui a donc été le premier couvent de l’ordre des Cordeliers, avant leur déménagement, et qui est devenu, après la révolution française, un lieu de stockage pour munition, d’où son nom de poudrière !

Une bougie qui s’éteint

Bougne est morte dans mes bras cet après-midi. Des sept années passées ensemble, c’est bien la première fois qu’elle m’aura rendu triste.

Une page se tourne

Je me suis toujours considéré comme un père « accompagnant » : celui dont le rôle est d’apprendre peu à peu la vie à ses enfants, et les accompagner vers une vie adulte qu’on espère des plus épanouies.

Je ne me suis jamais retrouvé dans ces mamans ou papas-poule, qui couvent leurs enfants, les protègent de tout, ne parlent que d’eux, et n’envisagent plus leur vie que par le prisme de leur progéniture adorée. J’ai toujours tenu à avoir ma vie à moi, mes occupations, mes sorties, de ne faire de concession à ma vie personnelle qu’au compte goutte.

Mais ça, c’était avant cette semaine.

Se réapproprier son corps

Je n’en ai pas beaucoup parlé, mais j’ai eu l’occasion, il y a quelques semaines, de suivre un stage de formation à une discipline qui m’intriguait de longue date : la programmation neuro-linguistique, ou PNL.

Cette formation est symbolique pour moi : pour la première fois (et j’espère pas la dernière !), je prends le temps de me former à autre chose qu’à des bidules techniques ou à des trucs liés de près ou de loin à mon métier d’informaticien.

D’une année à l’autre

C’est peut être mon âge avancé qui veut ça, mais j’avais envie de me donner à moi-même des petits défis cette année…

Ecriture radiophonique

J’ai eu la chance d’assister hier à un petit atelier dont l’objectif était de former de nouvelles recrues à l’art de l’écriture pour un média que j’adore depuis toujours : la radio.

Détox

Une nouvelle page qui se tourne, c’est également l’occasion de se poser quelques questions sur sa santé…