Bye FB – bis

Je viens de publier cette note sur mon compte Facebook…

Ca fait un certain temps que l’idée me trotte en tête, et j’ai réalisé que si l’idée persiste dans mon esprit, il faut à un moment donné la concrétiser : j’ai donc décidé de désactiver mon compte Facebook. Je le laisse ouvert pendant quelques heures le temps que mes contacts lisent ce message et ne s’inquiètent pas pour moi, et après, boum, je stoppe.

En langage Facebookien, désactiver, cela veut dire que ce compte va disparaitre pour les utilisateurs, mais qu’il va en fait dormir dans un coin et pourra être réactivé plus tard… Peut-être reviendrai-je un jour sur cette décision, je n’en sais trop rien.

Pourquoi faire cela ? Plusieurs raisons… Une envie d’expérimenter, déjà, comme le fait Thierry Crouzet, cette « rupture ». Une envie de revenir à des rapports humains plus classiques : Internet m’a définitivement beaucoup trop bouffé de mon temps, de mon énergie, et m’a fait passer à côté de trop de choses « vraies ». Et aussi une envie de se protéger dans une période pas simple.

Je ne disparais pas… Si vous avez envie de me joindre, ça sera avec plaisir que je lirai, et répondrai, à vos messages sur mon email : jd@olek.fr. Je suis toujours autant fâché avec le téléphone, mais vous pouvez m’envoyer des SMS… Et puis, surtout, si vous voulez m’inviter à boire un verre, ou passer à la maison, ça sera avec un très grand plaisir.

Et, pour les indécrottables des réseaux sociaux, je garde mon compte Twitter (un peu) ouvert, ainsi que quelques messengers… Il ne s’agit donc pas d’un sevrage total, même si j’y viendrai peut être un jour.

Ne vous tracassez pas pour moi, ce n’est pas un acte négatif, je le vis au contraire très positivement, et j’ai hâte de redécouvrir un peu plus des pans de la « vraie vie » que j’ai un peu trop délaissé…

Et je finirai par une pensée pour une personne qui a, plus que quiconque, souffert d’avoir subi cette addiction au net et au virtuel, et à qui je pense très très fort. Je continue à avancer, et j’évolue. Enfin.

 

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