La plupart des gens détestent le dimanche soir. Moi, c’est le vendredi soir. Ou, plutôt, un sur deux.
Le vendredi soir, une semaine sur deux, c’est celui où la maison, pleine de bruits et de chamailleries pendant une semaine, se tait, se fait silencieuse. Très silencieuse. Beaucoup trop silencieuse !
Le vendredi soir, c’est le soir où les enfants sont chez leur mère. Et où je dois me réhabituer à la vie sans eux.
En couple, c’était l’occasion de se retrouver, de se faire une petite soirée, un resto, un plateau TV sympa. Sans doute pas grand chose, sans doute pas assez (la preuve…). Là, il ne reste que le silence. Bien pesant.
Je vous laisse, je vais m’agripper à Bougne…