J’ai pas mal d’envies liées au cinéma en ce moment. Revoir des classiques, découvrir de nouveaux horizons… Je papillonne et m’évade grâce aux oeuvres oubliées ou qui ont un peu trop pris la poussière, tout comme avec certains nouveaux talents qui amènent un renouveau parfois inattendu, souvent enthousiasmant.
Je suis plutôt d’humeur joyeuse et positive ce matin (comment ça, ça change ? 😉 ), j’en profite pour mettre sur « papier » certaines pensées qui me trottent depuis longtemps, certaines lignes directrices qu’ils me seront utile de relire les soirs d’orage ou de brouillard…
Vous n’etes pas sans avoir remarqué que je parlais beaucoup de moi ces derniers temps sur ce blog… Voici quelques explications sur le comment du pourquoi… Et tant qu’à donner dans le nombrilisme, autant aller jusqu’à l’auto-interview !
Quand je faisais du sport au collège, il faut bien avouer que j’étais assez pitoyable à peu près dans toutes les disciplines (avec une mention particulière pour le football, puisque je refusais tout contact physique avec le ballon, ce qui n’est pas une stratégie très judicieuse pour devenir le nouveau Zidane), sauf dans une : le sprint. Sur 100 mètres (ou 80, je ne sais plus ce qu’on faisait à l’époque), j’étais particulièrement doué, surprenant ainsi tous mes camarades qui avaient fini par me croire comme définitivement handicapé de l’effort physique. En revanche, sur des épreuves de fond, j’étais très mauvais, incapable que j’étais de doser un effort pour le faire tenir dans le temps.
Une magnifique découverte que ce morceau, d’un groupe Australien que je ne connaissais pas du tout, « The Audreys ». C’est quelque part vertigineux de se dire que les plus belles créations peuvent venir de gens complètement inconnus… Mine de rien, ça en ouvre, des perspectives, en acceptant de sortir des sentiers battus et des rituels artistes que les majors nous imposent !
J’ai suivi comme beaucoup le compte à rebours morbide qui nous séparait de l’exécution de Troy Davis, aux Etats-Unis. Bien que mon opinion soit faite sur ce sujet depuis bien longtemps, je suis tout sauf un militant abolitionniste actif, et j’avoue n’avoir jamais entendu de Troy Davis avant cette surmédiatisation de dernière minute.