Ecrire, sur ce blog ou ailleurs, était censé être au départ une thérapie. Mais ça m’a aussi permis de me souvenir à quel point cela peut-être un plaisir et un vrai outil important dans la vie.
La plupart des gens détestent le dimanche soir. Moi, c’est le vendredi soir. Ou, plutôt, un sur deux.
Je n’ai peut être pas avancé ces derniers temps autant que je l’aurai voulu, et quelques épisodes récents m’auront montré que j’ai encore à faire pour me conformer à mon objectif : avancer, regarder droit devant, croire en mes rêves et surtout laisser le temps faire les choses en ayant foi en son destin. Mais je me suis tout de même rendu compte que j’avais « grandi » sur un autre des domaines qui me tenaient à coeur : apprendre à maîtriser ses pulsions, et vivre sans colère ni rancoeur.
Quand les pensées sont bien noires, quand les humains sont source de déception et de désarroi, il reste le coeur des animaux pour nous supporter et nous aimer inconditionnellement..
J’ai deux enfants, deux garçons de 11 et bientôt 14 ans. C’est un lieu commun de dire ça, mais ils sont ma joie et ma fierté au quotidien…
J’apprend ces temps-ci à faire du temps mon allié… Bizarre paradoxe, où le temps est l’unité la plus simple à faire dérouler, et pourtant la plus dure à maîtriser…