Posts in Category: Ecriture thérapeutique

Sevrage internaute

J’ai depuis longtemps cultivé, lentement mais sûrement, une vraie addiction à Internet. Checker ses mails toutes les 10mn, scruter la vie de ses contacts sur divers réseaux sociaux, jongler sans fin d’un site à l’autre à la recherche de sans cesse plus de contenu…

Famille

Cette nuit m’a montré à quel point la notion de famille, de tribu, de clan, humains comme poilus, était importante, y compris pour moi..

Imaginer Sisyphe heureux

Sisyphe et sa colline peuvent être riches d’enseignement pour nous tous…

Je ne serai pas Steve Jobs

L’ambition professionnelle a souvent pris une place importante dans ma vie, trop importante : c’est une des causes de mon divorce, ça a été le guide de mon cheminement personnel pendant bien des années, et c’est surtout une des voies que je me sentais de devoir prendre, et que je suis amené à remettre en question en ce moment…

Solitude

La solitude faisait partie des épreuves que je voulais affronter sans baisser le regard ou fuir. Pas la plus simple des étapes à passer…

5 trucs..

Pour continuer à faire le nombriliste, je me suis essayé à faire des listes de choses dont j’étais plutôt content ces derniers temps dans mon comportement ou ma façon d’évoluer, et d’autres que j’aurai préféré cacher sous le tapis…

Mourir demain..

Il y a quelques temps, j’avais cité Steve Jobs ici-même, en hommage après son décès :

« Se souvenir que je serai mort bientôt est l’outil le plus important que je connaisse. Parce que presque tout – toutes les attentes, toute la fierté, toute les craintes d’échec – toutes ces choses disparaissent face à la mort, vous laissant seul face aux choses vraiment importantes. Se souvenir que vous serez bientôt mort est le meilleur moyen d’éviter le piège de penser que vous avez quelque chose à perdre. Vous êtes déjà nu. Il n’y a aucune raison de ne pas suivre votre cœur. »

Je ne pensais pas que ces phrases me parleraient autant quelques temps plus tard…

Carapace

Dans la vie, je n’ai jamais su me constituer de carapace. C’est peut être un tort, mais je n’ai jamais su apparaître autrement « qu’à vif ».